Dans Lichen 18 (sept 2017), un texte de C.-L. Desguin
— Carine-Laure, entre deux battements de porte, tu nous dis quelques mots à propos de cette effervescence et de tout ce bordel dans ton appart ?
— Ben ça se voit, non ? Rapido, je lance sur mon blog Lichen 18.
— Ah oui, tu continues à publier dans les revues ?
— Oui, j’aime ça. Lichen est une revue numérique et chaque mois, un de mes textes est publié. Chaque mois aussi, de nouveaux auteurs dans cette revue de plus en plus diffusée.
— Bien ! Et cette fois, un poème qui claque. Pas mal, pas mal, Carine-Laure.
Voici le lien vers ce texte :
http://lichen-poesie.blogspot.be/p/carine-laure-desguin_14.html
Et le lien vers Lichen 18 :
https://lichen-poesie.blogspot.be/
— Petite question : c’est quoi cette casquette ridicule sur ce trolley ?
— Mardi soir, c’est le spectacle et je prépare ma valoche, en voilà une drôle de question…T’as pas lu mon article ? Ah ben non, bien sûr ! Au cas où, les infos sont ici :
http://carineldesguin.canalblog.com/archives/2017/08/04/35547454.html
— Ah oui, ça promet !
— En effet. Je sélectionne des extraits de mon prochain roman et aussi des extraits d’une pièce de théâtre.
— Pour le roman, il s’agit de La lune éclaboussée, meurtres à Maubeuge. Et pour la pièce, je suppose que Carine-Laure parle de cette pièce absurdo-kafkaïenne, Le Transfert. Carine-Laure a la tête à Liège et le corps à Charleroi. C’est momentané !
Voici son press book et si elle voulait bien le compléter au lieu de s’affairer à mettre du désordre dans son désordre :
http://carineldesguin.canalblog.com/pages/press-book/32061526.html